« Scorsese s’attaque à un genre (…) qui va lui coller à la peau pour le reste de sa carrière, le film de gangsters. Bien décidé à rompre avec l’imagerie un peu romantique à laquelle nous avaient habitués les films de Coppola ou De Palma, il voit dans le roman biographique de Nicholas Pileggi (…) l’occasion d’aborder le genre sous un angle beaucoup plus réaliste, de manière presque documentaire. »
Matthieu Santelli, Critikat.com