« Entre soap-opera et infiltration retorse du régime médiatique, entre la structure du conte populaire (le schème des Mille et une nuits) et la conduite d’un plateau de talk-show, entre les femmes de George Cukor et celles de Kenji Mizoguchi, le film de Yousri Nasrallah tresse un échevelant réseau d’images comme autant de renvois à son ambitieux écheveau politique. » Mathieu Macheret, Critikat.com