« À lire le texte que l’auteure en a tiré (Nathalie Granger suivi de la Femme du Gange, Gallimard, 1973), on constate (…) que Duras a voulu mettre sur l’écran plus d’informations que le spectateur le plus subtil ne saurait en déceler (…) Mais on n’a pas besoin de l’éclairage du livre pour mesurer à quel point Nathalie Granger est un film pur, musical, concerté. »
Claire Devarrieux, Libération