« L’humour cukorien se double toujours d’une vision pessimiste et acide de la nature humaine. Témoin ce Holiday, où un jeune homme amoureux mais pauvre, Johnny, est confronté au milieu social richissime de sa dulcinée et tente de s’y faire accepter tout en gardant ses rêves d’adolescent, où l’argent n’a pas de place. »
Ophélie Wiel (Critikat.com)