« C’est un film qui revient de loin, d’une période presque oubliée, dont ne parviennent plus guère que des fantômes. Le scénario fut écrit en 1952, au sortir de la seconde guerre mondiale, puis laissé de côté pendant près de soixante ans. Il aura fallu que Manoel de Oliveira souffle sa centième bougie pour qu’il s’en saisisse et décide d’en faire un film. »
I. Regnier, Le Monde