« I Giorni contati est l’œuvre la plus exemplaire des ambitions du nouveau réalisme italien (…) Comment le sentiment de la mort provoque une lente révolution dans le comportement social d’un individu et le mène jusqu’aux abords d’une prise de conscience de lui-même : voilà le sujet du film d’Elio Petri. »
Jacques Joly, Les Cahiers du cinéma