Premier long-métrage de Pialat, interprété pas des non-professionnels jouant leur propre rôle. « (…) rien ne remplace les vrais parents, et leur absence, même provisoire, est une blessure éternelle, mais l’amour des « petites gens » est mieux qu’un baume salvateur (version sombre dans L’Enfance nue, presque rose dans La Maison des bois). »
Marc Cerisuelo