« (…) Le baiser du maquignon à Donissan, le suicide au rasoir de Mouchette, la double transmission d’un savoir (du maquignon à Donissan, de Donissan à Mouchette), et la résurrection de l’enfant à qui Donissan réinsuffle la vie, sont d’autant de signes qui renvoient au triple mouvement du cinéma de Maurice Pialat : capture, alchimie et restitution de corps, d’affects. »
Alain Philippon