« Méconnu, mal aimé, Sainte Jeanne est pourtant l’un des films les plus sublimes d’Otto Preminger, dans lequel le cinéaste confirme son génie dans la direction d’actrices juvéniles et la psychologie féminine, l’intelligence dans l’adaptation de textes ou de livrets, l’élégance d’une mise en scène aux plans longs qui résout avec une suprême aisance les problèmes du passage de la scène à l’écran. »
Olivier Père