« C’est en 1952 (…) que Preminger réalise pour Howard Hugues Un si doux visage, bijou baroque que Godard aimait tant. (…) Cette histoire, qui relève à la fois du film noir et du mélo le plus extrême, trouve en Jean Simmons une héroïne parfaite, idéalement démoniaque et malsaine. »
Louis Skorecki, Libération