« 11 février 1963, Sylvia Plath, poétesse américaine, trente ans, mariée, deux enfants, se donne la mort. Une longue et minutieuse correspondance la reliait jusque-là à sa mère. Françoise Merle avait monté un spectacle en 1984 autour de cette correspondance (…) . Chantal Akerman a suivi ce chemin, de la folie à la mort, chemin constamment balisé par cet échange de voix fragiles, où se dit la difficulté d’écrire, les douleurs et les bonheurs de la vie d’amante et de mère. »
Antoine de Baecque, Les Cahiers du cinéma
Présenté par Caroline Renard, maîtresse de conférence en cinéma à l’université d’Aix-Marseille