« Nulle trace de sentimentalisme, de romantisme ou de nostalgie (…) dans ce film dont chaque scène porte la signature de son auteur (…). La modernité des Hommes préfèrent les blondes tient dans son approche satirique et même caricaturale, son esthétique de « cartoon » qui annoncent les comédies délirantes de Frank Tashlin ou Blake Edwards… »
Olivier Père (Arte.tv)