« Avec une séquence générique d’animation due à Lotte Reiniger, des airs qui ressemblent à des songs, des acteurs ambulants faisant écho à l’action, un peuple opprimé et inconscient à l’arrière-plan, ce film musical (…) pourrait prendre la relève de L’Opéra de quat’ sous. »
Bernard Eisenschitz
Samedi 1er juin à 14h, suivi d’un débat
En partenariat avec le Groupe madrilène de psychanalyse Entre-Dichos