Suivi d’une discussion avec Richard Copans et René Borruey vendredi 15 novembre à 14h30
L’Institut de l’image accueille pendant trois jours, du 15 au 17 novembre, la 17e édition du festival Image de ville (du 7 au 17 novembre).
Image ci-contre : Manon Ott, De Cendres et de braises (Fr., 2018)
Doc a quitté les Etats-Unis après être rentré du Vietnam. Il s’est installé à Lisbonne, où il travaille dans un hôpital. Comme trop souvent, sa nouvelle journée s’annonçe identique aux précédentes : Doc se réveille avec une gueule de bois, quitte son taudis et se rend à son travail. Il se sent menacé. A l’hôpital, il est confronté à une véritable hécatombe parmi les patients…
Suivi d’une discussion avec Richard Copans et René Borruey vendredi 15 novembre à 14h30
A Rome, une jeune étrangère ayant une vie très mondaine tente de se racheter après le suicide de son fils en consacrant sa fortune à soulager la misère…
Présenté par Alain Bergala vendredi 15 novembre à 17h
Portrait poétique et politique d’une banlieue ouvrière en mutation, De Cendres et de Braises nous invite à écouter les paroles d’habitants des cités des Mureaux, près de l’usine Renault-Flins.
En présence de la réalisatrice vendredi 15 novembre à 20h
Un journaliste enquête sur un mystérieux trafic d’armes entre Paris et Marseille et navigue entre deux femmes : Margot, son ancienne maîtresse venue à Marseille accompagner sa mère malade, et Lil, l’Américaine avec qui il vit à Paris…
Suivi d’une discussion avec Richard Copans et René Borruey samedi 16 novembre à 14h
L’histoire des populations tsiganes est marquée par la persécution, dont la tentative d’extermination par les nazis représente un pic d’une violence inouïe. En entrelaçant les œuvres puissantes du peintre Otto Pankok, les souvenirs des violences subies et la dureté de la vie quotidienne, Peter Nestler, travaillant avec sa femme, Zsóka, et avec sa mère, Birgitta Wolf, aborde avec beaucoup d’empathie et de lucidité l’histoire d’un peuple digne et constamment menacé.
En remplacement du film Csépio György, initialement programmé à cet horaire.
Chaque jour dans notre mode de consommation obsessionnelle, nous accumulons des objets qui commencent leur parcours de production dans un site industriel. Qui sont les moines dans des temples d’acier et de béton qui, quotidiennement, sont à la base de la création, du transport, de la commercialisation et de la destruction de ces objets ? Giorgio Ferrero décrit, dans quatre endroits différents du monde, la liturgie mécanique et l’isolement de ces acteurs de l’organisation de la chaîne mondiale de surconsommation.
Présenté par Matthieu Duperrex samedi 16 novembre à 18h20
En Seine-Saint-Denis, à La Courneuve, on démolit les grands ensembles et on attend l’arrivée du Grand Paris. Au sommet d’un immeuble vidé de ses habitants, une femme fait ses cartons et peint pour combler ses nuits. Dans les associations du rez-de-chaussée, les voisins se rassemblent, avant le départ au bled ou le dernier déménagement…
En présence du réalisateur samedi 16 novembre à 20h30
Un artiste étranger à Paris apprend qu’il a hérité d’une immense fortune. Il organise une soirée où on lui dévoile son horoscope : né sous le signe du Lion, il connaîtra début août une période difficile avant que la chance ne lui sourie…
Dimanche 17 novembre à 14h
Aurélien est charmant, mais il est tourmenté. Aurélien est volubile, mais il est solitaire. Aurélien se sent inadapté, mais il a tout compris. Aurélien est autiste. Aurélien est atteint du syndrome autistique d’Asperger. Sa parole témoigne d’une certaine difficulté à incorporer les codes qui régissent les liens et les interactions sociales, ce qui l’exclut de ce fait de toute altérité durable. Son chant d’une intensité prodigieuse est tel un miroir tendu vers nous.
En présence du réalisateur dimanche 17 novembre à 17h