Mizoguchi brosse ici un éblouissant portrait de femme, sacrifiée au nom de l’idéal artistique. Il rend hommage au théâtre japonais, à son éclat, mais aussi à sa cruauté, à travers le récit, inspiré d’une histoire vraie, de ce jeune acteur de kabuki.
Mizoguchi brosse ici un éblouissant portrait de femme, sacrifiée au nom de l’idéal artistique. Il rend hommage au théâtre japonais, à son éclat, mais aussi à sa cruauté, à travers le récit, inspiré d’une histoire vraie, de ce jeune acteur de kabuki.