« Campagnarde abandonnée par son amant, nonne embrasée d’amour (pour le Christ), allumeuse aveugle, intellectuelle faussement libérée, violoniste soumise ou syndicaliste combative, l’actrice incarne pas moins de douze personnages (…). Du conte boccacien à la fantaisie bunuelienne, en passant par la satire chantée, Risi égratigne tous les milieux, dans un exercice de style à l’humour décalé. »
Cinémathèque française