« Lorsque j’ai décidé de faire Litan, j’ai voulu que ce soit un rêve angoissant et irrationnel, mais dont tous les détails, filmés, permettaient de faire une synthèse. L’horreur des tronçonneuses, des viols sanglants ou des tortures sadiques, le sang pour le sang, je le laisse aux autres. Puissent certains entrer dans mon rêve et y trouver un plaisir angoissé et fugitif. »
Jean-Pierre Mocky