« Physionomiste en diable, Kore-eda filme si bien les visages et les corps que l’on finit par percer le mystère quasi alchimique de ces quatre sœurs dont l’enfance fut en grande partie volée. »
Franck Nouchi, Le Monde
« Physionomiste en diable, Kore-eda filme si bien les visages et les corps que l’on finit par percer le mystère quasi alchimique de ces quatre sœurs dont l’enfance fut en grande partie volée. »