« Il faudra bien un jour cesser de surnommer la Corée « le pays du matin calme », tant le cinéma de Séoul regorge de fous furieux devant et derrière la caméra. Park Chan-wook avait donné deux aperçus de son talent explosif dans Sympathy for Mr Vengeance et Old Boy, passé à la postérité pour ses séquences chocs type arrachage de dents au marteau et ingestion de poulpe vivant. Lady Vengeance boucle cette « trilogie de la vengeance » avec, peu ou prou, les mêmes ingrédients… »
Samuel Douhaire, Libération