« Visconti réfléchit à son art, tiraillé entre sa volonté de filmer l’Italie prolétarienne telle qu’elle est et son attrait grandissant pour tous les artifices du spectacle. Anna Magnani devient alors un double du cinéaste et livre un bouleversant portrait de femme du peuple, prise au piège de son rêve de cinéma. »
David Perrault, Cinémathèque française