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L’Institut de l’image développe de nombreux partenariats et propose régulièrement des soirées débats avec des intervenants divers, critiques de cinéma, écrivains, artistes.

Projections à l’amphithéâtre de l’école supérieure d’art d’Aix-en-Provence Félix Ciccolini.
  • ARRIVÉE D'UN TRAIN EN GARE DE LA CIOTAT

    Le film de Louis Lumière (1895, 50 secondes) analysé par François-Xavier Renucci.

    Louis Lumière a réalisé des centaines de films, mais l’un d’eux - Arrivée d’un train en gare de La Ciotat - est un chef d’oeuvre impérissable qui contient en germe tout l’art du cinéma et même toute l’histoire de l’humanité. François-Xavier Renucci vous propose de le suivre dans cette interprétation peut-être pas si délirante. Une conférence participative mariant érudition erratique et sagesse souriante. Venez nombreux !

    Entrée libre

    Arrivée d'un train en gare de la Ciotat

    Séances

    • vendredi 13 septembre à 19h00
  • WARGAMES

    CONCERT + PROJECTION

    (USA, 1983) 1h54
    Réal. John Badham
    Int. Matthew Broderick, Ally Sheedy, Dabney Coleman, John Wood…

    David est plus intéressé par son ordinateur que par ses études, ce qui ne l’inquiète pas puisqu’il est capable de modifier lui-même ses notes en piratant l’ordinateur du lycée. Un jour, en cherchant à percer le code d’accès d’un nouveau jeu vidéo, il se connecte accidentellement au département de la Défense…

    Plusieurs années avant l’apparition des ordinateurs dans les foyers et l’avènement d’internet, le « hacker » juvénile fait son apparition au cinéma dans WarGames, un palpitant thriller cybernétique où la survie de l’humanité dépendra du résultat d’une partie de jeu vidéo.

    Avant la projection le Quintette Evoli propose un tour d’horizon de trois quarts d’heure environ d’un répertoire inhabituel et très riche : la musique de jeux vidéo. Vous y entendrez des classiques du 10ème art, de Pokémon à Final Fantasy en passant par Zelda, réarrangés pour cuivres (trompette, cor, trombone, tuba) et réinterprétés en live par une fine équipe de cinq musiciens.

    WarGames

    Séances

    • jeudi 19 septembre à 19h30
  • SANS RETOUR POSSIBLE

    QUINZAINE DE L'ARMÉNIE À AIX-EN-PROVENCE

    (Fr., 1983) 1h40
    Réal. Jacques Kébadian, Serge Avédikian

    « Sans retour possible » : ces trois mots barrent les papiers d’identité des arméniens partis de Turquie après les massacres de 1915. Ceux qui pouvaient raconter sont ceux qui l’ont vécu. Ils avaient entre 6 et 20 ans lors de la grande dispersion de 1915. Jacques Kébadian et Serge Avédikian les ont rencontrés à peu près dans tous les quartiers arméniens qui se sont constitués dès 1922 à leur arrivée en France. Les survivants de l’exode ont aujourd’hui près de 80 ans. Il était urgent de recueillir les témoignages de ces mémoires vivantes.

    En présence de Jacques Kébadian vendredi 27 septembre à 19h30

    Sans retour possible

    Séances

    • vendredi 27 septembre à 19h30
  • NOUS ÉTIONS FRÈRES

    QUINZAINE DE L'ARMÉNIE À AIX-EN-PROVENCE

    (Arménie/Fr., 2023) 1h25
    Réal. Hakob Melkonyan

    En 2017, Hakob Melkonyan, réalisateur arménien, reçoit par la poste un document extraordinaire : le carnet de guerre de son grand-père. Mobilisé en 1942 dans l’armée soviétique, celui-ci avait tenu son journal pendant deux ans. Bouleversé par le récit de cette aventure, Hakob décide de partir sur les traces de son grand-père. Nous étions frères est un road-movie à travers quatre pays (l’Arménie, la Géorgie, la Russie et l’Ukraine), et une quête personnelle qui met en lumière un contexte géopolitique souvent méconnu qui aujourd’hui, avec la récente invasion du Karabakh et de l’Ukraine, nous rattrape.

    En présence de Hakob Melkonyan samedi 28 septembre à 17h

    Projection de l’installation "Un Mur contre l’oubli" vendredi 27 septembre à partir de 18h30 et samedi 28 à partir de 16h30, dans l’amphithéâtre avant les séances.

    "Un Mur contre l’oubli" est un mur d’images représentant une carte du peuplement arménien en 1915 dans l’Empire ottoman et jusqu’au Caucase. Par les 15 écrans-fenêtres les témoins racontent en chœur leur odyssée tragique, relatant les souvenirs de leur ville d’origine jusqu’à la déportation et l’exécution du génocide de 1915-1916. Ils sont les survivants réfugiés en France dans les années 1920.

    Avec le soutien de la ville d’Aix-en-Provence. Tout le programme de la Quinzaine de l’Arménie sur aixenprovence.fr

    Nous étions frères

    Séances

    • samedi 28 septembre à 17h00
Institut de l'image
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