Suivie d’un échange entre Ghassan Salhab et
Antoine Atallah
Beyrouth est-elle en devenir, ou stagne-t-elle,
s’enlise-t-elle dans un improbable présent, entre
donc différentes formes de nostalgie ou amertumes,
et une quasi impossible projection ? Que
signifie voir cette ville, alors qu’elle se tient
entre le visible et l’invisible, entre les traces et
une volonté d’effacement de ces traces ?