« Longtemps L’Innocent souffrit de la comparaison avec les classiques de Visconti, de Senso à Mort à Venise. Il fut considéré comme un épilogue mineur et fatigué, indigne de ses chefs-d’œuvre. Il n’en est rien. Comme d’autres immenses réalisateurs au crépuscule de leur vie (Dreyer, Lang) Visconti tend ici à une épure de son art. »
Olivier Père, Arte.tv