« Après Les Damnés et Mort à Venise, le troisième volet de la trilogie allemande, Ludwig, est longtemps resté un film mutilé. Amputé d’une heure par les distributeurs, remonté avec une structure en flashback, c’est un échec commercial cinglant à sa sortie en 1973 et il faut attendre 1983, après la mort de Visconti, pour contempler toute la magnificence de la version intégrale voulue par le cinéaste. » (Cinémathèque française)