« Film volontiers délirant – Hitchcock lui-même reconnaissait n’y rien comprendre –, Numéro 17 se regarde avec bonheur. Pour sa brièveté, 1h04, qui passe comme un rêve. Pour le décor quasi unique, la cage d’escalier d’un immeuble poussiéreux, la nuit. (…) Pour la première occurrence d’une figure appelée à devenir emblématique, celle d’un couple enchaîné suspendu au-dessus du vide… »
Emmanuel Burdeau