« Coup de tonnerre à Hollywood : bravant le Code Hays, L’Homme au bras d’or est le premier film à évoquer l’enfer de la drogue, avec un réalisme violent. Preminger rue dans les brancards contre la censure, démissionne de l’Association des Producteurs, et revendique son indépendance. La partition jazz d’Elmer Bernstein est sublime, Frank Sinatra, au jeu instinctif, est à son sommet, bouleversant. » (Cinémathèque française)