« Depardon éprouve une tendresse particulière pour les abîmés de la vie et ce qui se profile parfois à l’horizon, ce sont ces zones où l’être est pris dans les rets de sa propre prison intérieure. La folie (les soliloques des patients de San Clemente), la solitude (…) ne sont jamais très loin… »
Jean-Sébastien Chauvin